Publié 8 mars 2011
dans Amis (es) et pensee
Et oui, c’est aussi ta journée
Publié 5 mars 2011
dans pensee
Si vous rangez trop bien,
vous ne tomberez que sur ce que vous cherchez.
Vous n’aurez jamais de surprises,
ni ne connaîtrez le délice des retrouvailles fortuites.
Publié 3 mars 2011
dans Citations et pensee
Un miroir est une surface polie,
faite pour réfléchir,
mais parfois bien impolie quand elle vous fait réfléchir.
(Gérard de Rohan Chabot)
Publié 23 février 2011
dans pensee
Que vaut le temps, s’il n’en reste plus pour s’émouvoir, s’attendrir, aimer ?
Ce n’est pas nous qui décidons de notre temps, mais le temps qui tisse les jours , fait et défait les volonté,
les aspirations de l’homme.
Lauréanne Harvey.
Publié 22 février 2011
dans pensee
Le manteau de l’ange de la paix est très beau,
mais la question est de savoir qui l’endossera ?
Publié 16 février 2011
dans pensee
Le bonheur est si simple
qu’on en oublie parfois son fonctionnnement…
Seul ou accompagné, il ne dépend que de soi…
A chacun de nous de le vouloir, pour tous…
Au fond, c’est simple, comme respirer
mais si nous l’oublions, nous mourrons
Publié 15 février 2011
dans pensee
Sourire dans sa glace .
La politesse, en nous tirant un sourire, nous change tout .
Le physiomogiste en sait bien la raison car le sourire descend aussi profond que le bâillement et, de proche en proche, délie la gorge, les poumons et le coeur.
Alors souriez !
Publié 14 février 2011
dans pensee
Tout l’univers obéit à l’Amour ;
Aimez, aimez, tout le reste n’est rien.
Publié 14 février 2011
dans pensee
Rien n’est petit dans l’amour.
Ceux qui attendent les grandes occasions pour prouver leur tendresse
ne savent pas aimer.
Publié 6 février 2011
dans pensee
Même lorsque l’on croit que l’on n’attend plus rien,
nous attendons toujours quelque chose ou quelqu’un…
Publié 27 janvier 2011
dans pensee
Le livre de la vie est le livre suprême,
Qu’on ne peut ni fermer, ni rouvrir à son choix ;
Le passage attachant ne s’y lit pas deux fois,
Mais le feuillet fatal se tourne de lui-même ;
On voudrait revenir à la page où l’on aime,
Et la page où l’on meurt est déjà sous vos doigts.
Alphonse de Lamartine
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